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on discute.....

1 octobre 2009

Mais pas si compliqué

Entends-moi bien, je ne regrette pas notre séparation. Tu as ta liberté, j’ai la mienne. Peu importe que tu sortes avec Pierre, Paul ou Jacques. Je sais bien que tu en as besoin. Ca fait longtemps que je sais que la solution passe par quelqu’un d’autre. Je ne te demande rien. Je ne te propose pas un retour en arrière…

La douleur, j’en ai eu moi aussi. Peut-être pas la même que toi. C’est bien difficile de faire comme si on était droit dans ses bottes quand on demande a quelqu’un qu’on aime de partir. Mais je crois toujours qu’on avait besoin de cet electro choc. Toi comme moi. Mais J’ai pas compté mes larmes ces derniers temps.

J’ai toujours affiché que cette fois ci ce serait définitif mais en moi même je pensais très fort que je ne voulais pas te perdre pour toujours, juste te donner de l’air, que tu t’épanouisse. Et il m’a fallu du temps avant de trouver le courage de le faire car je sais ce que ça implique. L’idée qu’il y aurait un moment ou on pourrait à nouveau passer de bons moments ensemble ne m’a jamais quitté, détendus et sereins. Le passé derrière nous, l’avenir devant. Quand tu te serais trouvée, quand tu te sentirais capable de m’aimer comme la femme que je sentais au fond de toi mais qui se cachait. Quand je me sentirais l’épaule et les bras qu’il te faut, le compagnon aimant et bienveillant que je voulait être sans y parvenir.

Seulement voilà, rester ensemble et se détruire ou se séparer et souffrir ? N’existe-t-il rien entre les deux ? J’imaginais qu’on pourrait se voir de temps en temps. En toute liberté, en vieux amis ou en amants secrets, qui ont chacun leur vie mais beaucoup d’affection. Moi j’en ai toujours beaucoup. Je suis passé par le colère la rancune le doute la culpabilité…. Quand les choses retombent, il ne reste que le vrai.

L’autre soir, tu voulais savoir si je te haïssais, j’ai fait tout mon possible pour te rassurer et j’espère avoir réussi, même si tu a eu quand même mal. Aujourd’hui j’avais besoin de savoir si je t’inspirait du dégoût ou le vide total. Je n’ai vu ni l’un ni l’autre je crois. Ca me rassure beaucoup.

Bonne route à toi.

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1 octobre 2009

pas simple.....

Evidemment on efface pas 10 ans de vie de couple d'un revers de la main.
La tentation est grande, le manque est réel... j'en ai eu mal au plus profond de mes chairs...un mal physique qui me brulait de l'intérieur.
A l'heure actuelle je ne ressens RIEN...aucun sentiment.
Je n'ai qu'un seul objectif, MOI, MOI et MOI!! je suis vide et je compte bien me remplir de bon, de positif, de beau, de soleil!
Je veux être a l'écoute de moi même et ne plus avoir peur de mes envies, de mes désirs.
Tu ne me connais pas en fait, JE ne me connaissais pas....je suis bien plus forte que personne n'aurait pu l'imaginer ou que personne ne voulait bien me le laisser croire.
Je ne veux aucun tourment dans ma tête.
De nouvelles épreuves nous attendent et je veux pouvoir les aborder le plus sereinement possible.
Je fais un pas tous les jours, lentement mais SUREMENT!
Je ne suis pas encore prête a te voir (comme je te l'ai dit).Je n'ai pas envie de construire ma vie sur des rancoeurs du passé.
Comme tu l'as dit, il faut AVANCER (et ne pas reculer...)
On se tient au courant....

1 octobre 2009

premier petit mot

Il y a chaque jour un moment au moins ou je regrette ma décision. Je savais que ce serait difficile. Je savais aussi que peut être plus rien ne serait comme avant, avec toute l’insouciance et tous les bons moments qu’on passait ensemble. Les rires, la complicité, la compréhension. J’ai tellement peur de te perdre a tout jamais que je me maudit tous les jours.

Je déteste te faire du mal. Je déteste l’idée que c’est sans toi que je vieillirais.

Pourtant une voix en moi me dit que c’était le seul chemin, le seul moyen qu’on avance toi comme moi. Faire banco au risque de tout perdre.

Je sais bien qu’au moment ou j’écris tout ça tu es dans les bras d’un autre. Moi aussi je m’oublie dans d’autres bras, mais c’est toujours vers toi que mon cœur est tourné, c’est toi ma bien aimée, ma chérie ma puce ma douce. Tu n’es pas là mais je sens ton odeur de mémoire, ça me fait mal et ça me fait du bien en même temps.

J'aimerais bien passer un peu de temps avec toi de temps en temps.

 

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